Murat
Auvergne Rhône-Alpes, Cantal
Murat, Petite Cité De Caractère®
Murat est reconnue comme une Petite Cité de Caractère®. Cette marque témoigne de la qualité des patrimoines locaux et de l’engagement de la commune à les protéger et à les mettre en valeur. Autour de cette question centrale, se construit un tourisme à dimension humaine, privilégiant la qualité d’une rencontre, le plaisir de découvrir des pépites patrimoniales, de flâner dans la cité, d’être acteur d’une animation culturelle, d’aller au marché... Dans le Cantal, venez découvrir nos Petites Cités de Caractère®, leur histoire, leurs patrimoines et leurs habitants, et apprécier un certain art de vivre. Vous y trouverez cette carte numérique qui vous permettra de repérer facilement les différents points d’intérêts pour vous aider dans votre découverte.
Murat, cité aux trois rochers
Au cœur de l’exceptionnel site du volcan cantalien et de la vallée glaciaire de l’Alagnon, Murat est une cité de montagne au charme médiéval, entourée par trois rochers basaltiques. Ce sont les vestiges d’anciennes cheminées volcaniques : celui de Bredons couronné par son église prieurale, celui de Bonnevie où se dresse la statue Notre-Dame de Haute-Auvergne, et celui de Chastel surplombé par la chapelle Saint-Antoine. Murat est d’ailleurs lié à sa topographie jusque dans son nom, puisque son nom celtique signifie "roc escarpé".
Fondation de Murat
Murat est mentionné dès 270 lors de l’évangélisation de l’Auvergne par Saint Mary. La construction du prieuré de Bredons par des moines bénédictins de Moissac au XIe siècle, marque le début de son expansion. La tutelle religieuse de Bredons sur Murat perdure jusqu’à la Révolution. Au carrefour de voies de communication, Murat devient une ville de négoces et de services. Rattachée au domaine royal en 1531, elle continue de prospérer malgré les épidémies et famines du XVIIe siècle. Durant la Révolution, Murat joue un rôle important dans la réorganisation administrative du pays, en devenant chef-lieu de district. En 1866, l’arrivée du chemin de fer favorise son développement industriel. La guerre de 39-45 est un épisode douloureux qui fait de la cité un symbole de la déportation cantalienne. Murat abrite aujourd’hui onze bâtiments protégés au titre des Monuments Historiques.
Rocher de Bonnevie et Notre-Dame de Haute-Auvergne
Surplombant la vieille ville étagée en amphithéâtre, l’imposant rocher de Bonnevie possède des orgues basaltiques, parmi les plus fines d’Europe. La forteresse des Vicomtes de Murat, érigée en son sommet, fut détruite en 1633. Le 18 Juin 1878, fut dressée la statue en fonte de 8 mètres de haut et de 13 780 kg de Notre-Dame de la Consolation (actuelle Notre-Dame de Haute-Auvergne), représentation géante d’une vierge noire à l’enfant, prétendument ramenée de la 7ème Croisade par les compagnons de Saint-Louis et vénérée depuis lors.
Mémorial des Déportés
Murat est devenue le symbole de la déportation cantalienne à la suite des événements de juin 1944. Le 12 juin, des soldats allemands et des miliciens commandés par le capitaine SS Geissler, chef de la police allemande de la zone sud, investissent Murat pour mettre aux arrêts plusieurs chefs de la Résistance. Avertis, des maquisards font feu des hauteurs de la ville vers la place du Balat, blessant et tuant des miliciens et soldats allemands, dont le capitaine Geissler. En représailles, les Allemands reviennent en force le 24 juin et arrêtent tous les hommes présents. 103 Muratais en âge de porter les armes sont regroupés et emmenés vers Clermont-Ferrand pour être déportés, à Neuengamme pour la plupart. Ce sera un voyage sans retour pour 75 d’entre eux. Aujourd’hui, Murat raconte cette histoire au Mémorial de la Déportation.
Maison dite consulaire
En 1263, Pierre IV de Murat autorise les Muratais à élire 3 consuls pour administrer la cité, privilège qui perdurera jusqu’au XVIIIe siècle. On nomme cette habitation du XVème siècle « Maison consulaire » en raison de ses habitants. En effet, elle a été longtemps occupée par la famille Chabanon qui a donné 7 consuls à la ville de Murat. Ce fut une famille respectée et l’un de ses habitants a même fait graver les portraits de sa famille en façade de la maison. Ces médaillons, bûchés en 1791 car « considérés comme une marque de vanité contraire à la liberté et à l’égalité des Droits », ont été retrouvés, restaurés et réintégrés à la façade il y a quelques années. Les fenêtres et la porte d’entrée possèdent des linteaux en accolade et une large baie en anse de panier qui témoigne d’un passé commercial. Ce bâtiment a été inscrit ISMH en 1927.
Tribunal de Murat
L’ancien couvent des religieuses dominicaines de Sainte-Catherine de Sienne, reconstruit de 1771 à 1780 après un incendie, a été transformé en tribunal suite à la nationalisation des biens religieux lors de la Révolution. Il est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques en 1991. La porte principale présente un demi-fronton dans lequel semble s’insérer un oculus encadré par deux niches décoratives à colonnettes de style Louis XIII. Sous le fronton, on peut encore lire l’inscription « Tribunal ». Assurant cette fonction jusqu’en 2008, le bâtiment accueille aujourd’hui la Maison des Services, Hautes Terres Communauté et un espace de travail partagé, à deux pas d’un Fablab (laboratoire de fabrication numérique).
Tour du Bon Secours ou Tour Molinier
La « Tour du Bon Secours » ou « Tour Molinier » (la rue du Bon Secours s’appelait avant rue du Molinier) est l’une des sept anciennes portes de la ville percées dans les remparts. Elle assurait la séparation avec le faubourg, quartier pauvre souvent en proie aux incendies et premier à souffrir des pillages.
Maison de la famille Béral
Cette maison fut la propriété de la famille Béral, qui donna plusieurs grands médecins aux rois de France. Pierre de Béral, anobli par Louis XIII, fut le médecin d’Henri IV durant 32 ans. Pour l’anecdote, il préserva de la « Chauve-souris du sentiment », plus couramment appelée chaude-pisse ou blennorragie, celui que l’on nommait « le Vert galant ». Pierre-Hugues de Béral, fut quant à lui, médecin de Louis XIII. Sur le linteau de porte, un ange tient un écu bûché. En levant la tête, on peut voir deux belles fenêtres à croisée de meneaux accolées.
Jacquemart de la maison Gaudron
En 1938, Charles Gaudron, chirurgien-dentiste passionné d’horlogerie, a fait réaliser ce jacquemart pour immortaliser ses enfants, en costume traditionnel auvergnat, dansant la Bourrée. Les quatre personnages en bois peint tournent sur un socle de bois. Au-dessus d’eux, on retrouve l’horloge puis les cloches. Le jacquemart a ici la forme d’une tourelle d’angle, sur son toit un coq sonne les 12 coups de midi.
Tour Saint-Pierre
Tour circulaire de défense édifiée sur les anciens remparts de la ville (3ème enceinte). On peut voir ici une partie des anciens remparts qui ont été abaissés et remaniés surtout en centre-ville lors des plans d’aménagement urbains successifs.
Maison style Renaissance
Maison style Renaissance dont l’appareillage taillé dans le trachyte a permis de créer cette façade riche d’ornements : bandeaux moulurés, échauguette en encorbellement, échauguette en saillie dans l’angle, pilastres avec chapiteaux toscans, fenêtres à meneaux, modillons à double volute. Portes à frontons triangulaires dont les tympans sont écussonnés.
Maison des médecins du Roi
L’hôtel particulier acquis par la famille de Traverse au XVe siècle évolue vers une architecture de style Renaissance. Il est situé à l’angle de la rue de Lavergne et de la rue d’Armagnac, dans l’un des quartiers les plus anciens de la ville. Guillaume de Traverse, conseiller et médecin du roi Charles VII fut anobli en 1459. Son fils, Jean de Traverse, également médecin, fut aussi celui du roi Louis XI. Au rez-de-chaussée, on peut admirer une échoppe de commerçant avec son étal caractéristique. Au-dessus, une fenêtre à meneaux agrémentée de têtes anthropomorphes et encadrée de pinacles fait face à la rue de Lavergne. Sur la façade gauche, au pied de la tour d’escalier, se trouve une porte d’entrée à double linteau.
Maison des Templiers
Les Templiers constituaient un ordre religieux militaire dont la charge, à l’origine, était la protection des pèlerins sur les chemins de la Terre Sainte alors en proie au brigandage. L’ordre fut créé en 1129 et dissout en 1312. Les Templiers se pliaient à un règlement religieux proche de celui des Bénédictins, cependant les jeûnes étaient moins sévères de manière à ne pas affaiblir ces moines guerriers appelés à combattre. Au-dessus de la porte de la maison, sont encore visibles dans la pierre, les armoiries des Templiers, la croix pattée à huit pointes.
Maison natale de Philippe Marcombes
Né à Murat en 1877, Philippe Marcombes, médecin militaire puis médecin civil à Clermont-Ferrand, s’illustre sur le front de la Première Guerre mondiale, où il est décoré de la Légion d’honneur, de la Croix de guerre et de la Distinguished Service Cross. Maire de Clermont-Ferrand en 1919, député en 1923, ministre de l’Instruction publique en 1935, il meurt à l’Élysée, le 13 juin 1935, d’une crise cardiaque et sera inhumé à Murat.
Pavillon des Halles
Bel exemple des constructions à charpente métallique de type « Baltard », la halle achevée en 1891 fut restaurée en 1988. Elle est inscrite à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques en 1991. Dans ces halles où tout espace était compté, une colonne en fonte remplaçait un mur pour gagner en emplacement pour le commerce. Élément majeur, le fer était gage de résistance au feu et permettait de créer de superbes baies vitrées, inconnues à cette époque. Au rez-de-chaussée, se trouvaient les « docks à fromages ».
Collégiale Notre-Dame des Oliviers
La plus ancienne église de Murat, aujourd’hui disparue, était l’église Saint-Martin érigée au IXe siècle, donnée en 1074 au prieuré de Bredons dépendant de Moissac et de Cluny, ce qui entraîne une rébellion ouverte des Muratais soutenue par l’évêque de Saint-Flour. En 1350, l’évêque de Saint-Flour fonde une congrégation de prêtres et obtient l’autorisation de bâtir une église (collégiale actuelle) en 1380. Ravagée par un incendie dû à la foudre en 1493, elle fut reconstruite et agrandie par des chapelles, de nouveau consacrée sur ordre d’Anne de France, fille de Louis XI, épouse du Duc Pierre de Bourbon et vicomtesse de Murat. En 1732, la paroisse obtient enfin son indépendance après 700 ans de soumission à Bredons. À la Révolution, la collégiale devient un temps Temple de la Raison. La collégiale a été inscrite ISMH en 1991.
Éléments architecturaux de la Collégiale
En 1926, les maisons adossées à l’église sont abattues, laissant apparaître une échauguette placée sur le pignon d’une chapelle latérale, à gauche du portail Sud. La collégiale possède, chose étrange dans cette région, un clocher à bulbe datant de 1842. Après la réfection du clocher en 2011, la totalité de la toiture en phonolite a été restaurée entre 2016 et 2019. Notre-Dame-des-Oliviers abrite également un riche mobilier : maître-autel, retable polychrome … ainsi que la statue de Notre-Dame. Elle fait l’objet d’un culte très ancien, la tradition voulant que, rapportée de la croisade par Saint Louis, elle ait survécu à l’incendie de la collégiale et qu’elle protège depuis lors la ville de la foudre et les habitants de différents maux. Volée en 1983, la copie aujourd’hui en place est toujours revêtue de nombreuses parures par les fidèles.
Maison dite Ancien Bailliage
Au XVIe siècle, le bailliage était le lieu où le lieutenant-bailli des « montagnes d’Auvergne » rendait la justice au nom du Roi. Parmi ses pouvoirs, il avait celui de juger en première instance les affaires criminelles. Inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques en 1985, l’édifice présente quatre niveaux soulignés par une corniche en forte saillie. Les fenêtres ont des encadrements moulurés et les montants sont finement ciselés. Une belle porte, moulurée avec motif central martelé, donne dans la rue adjacente appelée rue de l’Argenterie, l’ancien quartier des orfèvres spécialisés dans la taille de l’améthyste.
Maison de la faune
La Maison de la faune est un ancien hôtel particulier du XVIe siècle appartenant à la famille Teilhard de Laterrisse, vendu en 1827 au Département qui y installe le siège de la Sous-Préfecture où 61 sous-préfets s’y succèdent jusqu’à la suppression du service en 1926. Témoignage architectural historique en plein cœur de Murat, l’édifice ne manque pas d’intérêt : façade dotée d’une tour en encorbellement, parquets, plafond peint du XVe siècle, plafonds à la française, escalier hélicoïdal, certains éléments de charpente constitués d’une seule pièce de bois recourbée, … La Maison de la faune regroupe et met en valeur une collection de 8 000 coléoptères de France (dont certains spécimens extrêmement rares) et 800 mammifères et oiseaux naturalisés, présentés dans leur biotope reconstitué. Entre 2020 et 2021, elle a été entièrement modernisée.
Cornets de Murat
Le Cornet, gâteau sec roulé à chaud en forme de petite corne, est une spécialité pâtissière des pâtissiers et boulangers muratais, devenue un incontournable dessert cantalien. La tradition remonterait au XIXe siècle, quand les grands-mères préparaient ce biscuit sec conique qu’elles glissaient ensuite dans les garde-mangers que portaient en bandoulière les petits vachers chargés de garder les troupeaux en montagne, à l’instar des cornes à sel. Cette gourmandise emblématique est célébrée tous les ans en septembre, lors de la Fête du Cornet, événement festif et savoureux où dégustations côtoient spectacles de rue dans le décor de la cité médiévale.
Caractère volcanique
La cité entretient une relation unique avec le volcanisme qui a façonné son paysage et son architecture. Au cœur du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne, et à deux pas du Grand Site du Puy Mary, Murat est tout simplement indissociable de son environnement naturel. Le volcan cantalien, qui est le plus vaste d’Europe avec 70 km de diamètre, donne de véritables richesses à Murat : basalte, trachyte et phonolite qui sont les principaux matériaux de construction de la ville. Le volcan offre aussi la diatomée, surnommée “l’or blanc de Murat”. Algue microscopique sous forme fossile, c’est un minéral rare de couleur blanche, qui est transformé sur Murat en agent de filtration alimentaire.
Carrefour d'itinérances
Murat est à la confluence de trois chemins de grande randonnée, promesses de voyages inoubliables. Le mythique GR®400 traverse les Monts du Cantal et offre des paysages à couper le souffle. Le GR®465 est un chemin clunisien reliant les Petites Cités de Caractère® de Murat et de Montsalvy au Grand Site de Conques. La Via Arverna est un chemin vers Compostelle, à travers l'Auvergne et le Quercy. Doté d’une gare, Murat constitue un point de départ idéal vers toutes ces itinérances, permettant la rencontre des patrimoines bâtis, culinaires et naturels qui les composent.
Rocher de Chastel sur Murat
Murat se trouve sur la diagonale parfaite de ses 3 rochers basaltiques, anciennes cheminées volcaniques témoignant de la puissance des éruptions qui ont façonné la région : Bredons, Bonnevie et Chastel sur Murat. C’est sur ce dernier rocher qu’est érigée la chapelle Saint-Antoine à 1193 mètres d’altitude, classée Monument Historique. Construit au XIe siècle, cet édifice de style roman se caractérise par son clocher à peigne ou clocher-mur qui est un élément architectural particulier : le mur est percé d’une ou plusieurs baies pour installer les cloches. L'intérieur de la chapelle abrite des fresques colorées des XIVe et XVe siècles, représentant des scènes bibliques et des saints. Le site, propice à la contemplation, offre un panorama sur les Monts du Cantal.
Tourbière de Brujaleine
Située sur les paysages sauvages du plateau de Chastel-sur-Murat, Brujaleine fait partie d’un réseau de quatre tourbières classées Natura 2000, formant ainsi un Espace Naturel Sensible. Une tourbière est un milieu humide caractérisé par une accumulation de matière organique morte, la tourbe, formée par la décomposition incomplète de végétaux dans l'eau. Le site abrite une biodiversité remarquable : insectes, amphibiens, libellules et oiseaux y trouvent refuge. On y trouve aussi une flore spécifique adaptée aux conditions de vie extrêmes dûes au sol acide, pauvre en nutriments et en oxygène : sphaignes, plantes carnivores comme la droséra, mousses et lichens... Véritable patrimoine immatériel de Murat, la tourbière de Brujaleine constitue un écosystème unique et précieux, jouant un rôle crucial dans l’environnement.
Fablab de Murat
Installé dans une partie des locaux de l’Hôtel de Ville construits au XIXe siècle, le FabLab est un laboratoire de fabrication, comme son nom l’indique : “Fab” comme Fabrication, “Lab” comme Laboratory. Également appelé “La Cocotte Numérique”, cet espace de rencontre et de création collective met à disposition des outils de fabrication d’ordinaire peu accessibles : découpeuse laser, imprimantes 3D, découpeuse vinyle, fraiseuses numériques … Guidés par un fabmanager, tous les publics sont à même de réparer, d’imaginer et de créer des objets uniques, prototypes, cadeaux personnalisés …
Mentions légales
Ce projet de carte interactive est porté par les associations Petites Cités de Caractère® de France, Petites Cités de Caractère® en Auvergne Rhône Alpes, Petites Cités de Caractère® du Cantal et par la commune de Murat.
Il est soutenu financièrement par l'Appel à Manifestation d'Intérêt "Destinations Digitales" du plan "Destination France" piloté par Atout France, par la convention FNADT du Commissariat Massif Central, par l'appel à projet "patrimoine et numérique" de la Région Auvergne Rhône-Alpes, et par la Fondation d’Entreprises du Crédit Agricole Centre France.
Le plan de la commune (visuel de fond) a été réalisé par Laura Catheline - atelier passage.
Les traductions en anglais ont été réalisées par l'Office de tourisme de la Châtaigneraie Cantalienne.
Les voix ont été produites et enregistrées par Hélène Poussin - Compagnie « les pieds bleus » (version française), Nico production (version anglaise).
Les photos ont été produites et réalisées par Pierre Soissons, Patrick Forget, Gilles Chabrier, Mairie de Murat, Petites Cités de Caractère®.
Les vidéos ont été produites et réalisées par Petites Cités de Caractère®, Hautes Terres Tourisme.
Conception et développement de la carte interactive par Tabula Rasa.
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